Une jolie truie bicolore.
On dirait un dalmatien.
Groink.

Une bonne truie troglodyte (si, si, elle vit vraiment dans une grotte).

Durant les vacances, Papa...razzi est tombé sur un magnifique spécimen gros, gras et dodu.

Une petite dédicace à notre Bernie Barge préféré (au premier plan et en rose).

Après une très longue absence, et à la demande générale, j'ouvre une nouvelle porcherie. Actuellement, je m'occupe d'approximativement 90 petits porcelets. Tous sont bien nourris.
Ci-contre, un magnifique spécimen de cochon laineux.
Groink.

GROIIIINNNKKKK !!!!

La récré est finie. Allez, les enfants ! En classe.

Après de longues semaines d'absence (injustifiées ! Mais que font les CPE ?), le papa...razzi est de retour.

Ne sont-ils pas mignons ? Je vous jure, on dirait des élèves de collège. Si, si. En y regardant de plus près, on trouve d'étranges ressemblances.

Groink !

Un joli tas de porcelets... On croirait voir une cour de récréation de collège, groink groink !
Y sont-y pas mignons, non ?

Dans la famille des cochons, il y a le papa, appelé le verrat, la maman, appelée la truie, et les petits que l'on nomme les porcelets, les cochonnets ou les gorets. La famille est souvent très nombreuse car la maman met au monde une dizaine de porcelets... deux fois par an !

La truie possède douze tétines. En principe, chaque porcelet tète toujours la même. A la naissance, les porcelets se disputent les meilleures tétines, celles qui donnent le plus de lait. Groink ! Pas de cadeau !

Un petit cochonnet curieux que le papa...razzi a dérangé durant son repas. Il n'a pas hésité à piétiner sa maman pour venir renifler le photographe (qu'il n'a pas dû trouver à son goût car il est reparti téter, en piétinant cette fois-ci ses frères et soeurs).

Une jolie brochette de cochonnets (sans mauvais jeu de mots ; il ne faut pas heurter les sensibilités cochonnesques : il y aurait trop de groink, groink de protestation).

Voici un très joli spécimen de cochon de nos campagnes. Grand, gras, gros et groink.

Groink.

Une jolie cochonne. Nous l'avons déjà présentée dans un précédent message (mercredi 09 janvier) en train de nourrir ses petits (il est vrai que nous ne voyons que son flanc). Elle reviendra prochainement sur ce blog, car nous ne mettrons jamais assez en valeur le véritable travail des mères (fussent-elles truies).

Un petit cochon, deux petits cochons, trois petits cochons...

Groink, groink, groink !

Cochon : mammifère domestique, ongulé de l'ordre des suidés, autrement appelé porc. Eh oui, c'est ça, un cochon. Le cri du cochon est, selon nous, "groink, groink". Cette dernière information est à vérifier.

A table ! Et bon appétit. Groink groink !

Un cliché difficile à obtenir avec une truie timide qui se cachait dans le noir. Malgré tout un tas de "Groink, groink" scandalisés, le papa...razzi est parvenu à voler cette image. Il faut avouer que la star n'est pas à son avantage, ainsi surprise au saut du lit.

Trois petits cochons pendus au plafond, tirez leur la queue... ils feront "Groink, groink !". C'est évident.

Après un cochon bien de chez nous, un peu d'exotisme avec ce splendide cochon originaire du Viet-Nam. Eh, oui.

Comment cela se dit "Groink, groink" en vietnamien ?

Groink, Groink ! Un bon gros cochon bien de chez nous. C'est y pas du cochon, ça madame, hein ?

Quand il y en a pour un, il y en a pour deux.

Groink, groink.

Il n'est pas tout mignon, celui-là ?

Groink ?

Groink !

En voilà un bon gros cochon. Groink, groink. C'est l'un des premiers cochons bien vivants que les aspirants cochonous ont admiré. Dans une ferme qui, hélas, a disparu depuis, faute de repreneur. Sniff, sniff.

L'aspirant cochonou Nathanaël n'est pas seul. Ils sont trois à postuler. Par ordre d'entrée en scène, il y a Timothée, Nathanaël et Clarence. Trois "Groink groink !" pour les aspirants cochonous. Il y a fort à parier qu'ils seront tous reçus.

Bienvenue au musée virtuel du cochon (vivant) dédié à tous les amateurs de cochons et tout particulièrement à un grand admirateur de cochons, Nathanaël, que je déclare, officiellement, aspirant cochonou.

Groink groink !